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Photo du rédacteurSecrétaire AVF

La peste de Camus

En 1947, Albert Camus a écrit ses lignes dans "La peste" :


«On demandait des mesures radicales, on accusait les autorités et certains qui avaient des maisons au bord de la mer, parlaient déjà de s’y retirer.»

«C’est ainsi par exemple qu’un sentiment aussi individuel que celui de la séparation d’avec un être aimé devient soudain, dès les premières semaines, celui de tout un peuple et, avec la peur, la souffrance principale de ce long temps d’exil.» «On avait tout sacrifié à l’efficacité.»

«Je me sens plus de solidarité avec les vaincus qu’avec les saints. Je n’ai pas de goût, je crois, pour l’héroïsme et la sainteté. Ce qui m’intéresse, c’est d’être un homme.»

«La délivrance qui approchait avait un visage mêlé de rires et de larmes»


Étonnant, n'est pas ?

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